Paris

Cimetière du Père Lachaise

Le cimetière ne constitue pas le lieu de promenade le plus recherché. Pourtant celui du Père Lachaise est magnifique, et nombreux sont les visiteurs qui viennent y succomber à son charme. C’est le cimetière le plus connu de Paris, le plus beau et le plus vaste.

On y vient pour la beauté du paysage et de la nature. Situé sur terrain très accidenté, on y admire des arbres centenaires et une riche végétation, qui font oublier le côté funèbre du lieu.
On y vient pour y réfléchir, ou se recueillir, sur les tombes d' hommes et de femmes inconnus ou célèbres en leur temps, pour la plupart oubliés. On sait bien que les cimetières sont remplis d'hommes qui se croyaient indispensables !
On y vient pour respirer la douce mélancolie que les lieux inspirent.
On y vient pour regarder avec curiosité le culte des morts et du souvenir qui était celui de nos anciens, à l’heure où beaucoup d’entre nous aspirent à l'oubli en optant pour l’incinération et à la dispersion des cendres.

Un peu d'histoire
En 1626, des jésuites achètent une propriété de campagne, l’actuel 20ème arrondissement de Paris étant alors hors la ville. La Folie Regnault  devient ainsi une maison de repos de l’Ordre. Le  père de la Chaise, confesseur influent de Louis XIV, y vient souvent, et contribue à sa rénovation en 1682. Son nom restera attribué au lieu.
Un siècle plus tard, en 1763, les jésuites sont expulsés. La ville acquiert la propriété en 1803, et la transforme en cimetière sur les plans de Brongniart (concepteur du Palais de la Bourse).
C’est ici que se déroule les phases ultimes et sanglantes de la Commune. Le 28 mai 1871, les derniers insurgés sont retranchés dans le cimetière. Ils sont attaqués par les versaillais, et une lutte féroce s’engage parmi les tombes. Le lendemain à l’aube, les 147 survivants sont fusillés contre le mur d’enceinte, dans le coin sud-est du cimetière. Une large tranchée ouverte sur place reçoit les corps. Le « Mur des Fédérés » est l’objet de nombreux pèlerinages .

On voit dans le cimetière presque plus de chapelles que de pierres tombales. Beaucoup sont abandonnées, livrées à l'usure du temps, pierre érodée, inscriptions invisibles, portes ouvertes et bancales. La plupart de ces chapelles ont été érigées au XIXème siècle ou début XXème. Nombre d'entre elles ne voient plus aucun visiteur depuis longtemps. N'est-ce pas là la mort définitive, quand il n'y a plus personne sur terre pour penser à vous ?
Beaucoup de ces monuments sont richement décorés, voire ostentatoires. Ils sont le fait de personnages importants en leur temps, ou qui croyaient l'être, et qui ont voulu que le postérité le croit aussi. Certains ont réussi à résister quelques décennies à l'oubli, et c'est une vraie émotion que de découvrir, au détour des allées ou en suivant le plan, les tombes de Balzac, Eluard, Héloïse et Abélard, et tous les autres.

Pourquoi tant de riches ornements, sculptures, bustes et statues, vitraux, portes ciselées, plaques honorifiques? Certaines chapelles sont de véritables mausolées. Volonté de  garder une trace, de maintenir le souvenir, de se donner l’illusion de l’immortalité ? Ultime lutte contre l’oubli  ? Contre la mort ?
Et pourquoi ce regard différent, aujourd'hui? Cela ne serait-il pas lié au déclin de la religion chrétienne? Au poids grandissant de la raison, qui nous rend sceptiques face à la croyance en la vie éternelle qu’espéraient nos ancêtres, et qui, peut-être, les  poussait à l’érection d’œuvres matérielles du souvenir,  trait d’union entre le monde terrestre et celui des âmes ?

En route donc vers ce bel endroit avec le diaporama musical d'une bonne centaine de photos (à droite).

Opéra Garnier

LOpera garnier'Opéra Garnier est l'un des monuments emblématiques de Paris. Conçu par l'architecte Charles Garnier, il est caractéristique de l'architecture de style historiciste du XIXème siècle. Il est inauguré en 1875 par le président Mac Mahon.

Il a perdu son appellation "opéra de Paris" depuis la mise en place de l'opéra Bastille, les deux établissements étant désormais regroupés sous l'établissement public Opéra National de Paris

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Galeries et passages couverts

La révolution des galeries
En 1781, Louis-Philippe d'Orléans récupère le Palais Royal, traditionnellement propriété des Orléans. Comme il est fauché, il décide de réaliser une opération immobilière en profitant des abondants terrains qui bordent le palais. Ainsi seront construits les trois bâtiments qui entourent aujourd'hui le jardin.

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galerieCe sera un bide commercial. Et comme il n'a plus assez d'argent pour construire le quatrième bâtiment qui fermerait l'ensemble, il se rabat sur la réalisation d'une galerie de bois qui sera affectée à des commerces. C'est un succès commercial énorme. Les parisiennes raffolent de cette galerie couverte, qui contraste avec les rues, envahies par la gadoue et la saleté, dangereuses à cause d' une circulation hyppo-mobile totalement incontrôlée, et où on peut à tout moment être aspergé des pots de chambre des riverains. 
Cette réussite donnera des idées à des financiers entreprenants, et c'est ainsi que vont fleurir au XIXème siècle autour de 140 galeries et passages couverts, où il sera agréable de flâner. L'Europe entière viendra les admirer, et les imitera.
Il faut dire que ces galeries et passages sont une vraie révolution commerciale, par rapport à des échopes sans vitrine donnant sur des chaussées sans trottoir. Le progrès technique permet de grandes surfaces vitrées, qui vont modifier le comportement des acheteurs, qui ne vont plus entrer à l'aveugle dans un magasin, mais parce qu'un produit exposé leur aura plu.

Le déclin, et la résurection
Au milieu du XIX éme siècle, l'apparition des grands magasins sonne le déclin des galeries.
Avec les travaux du baron Haussmann et la création de trottoirs, les égouts, l'arrivée des grands magasins, ces galeries vont tomber en désuétude. Beaucoup feront les frais du goût du baron pour la ligne droite, et seront démolies.
Les quelques galeries qui subsistent ont été réhabilitées ces dernières années. Elles ont été classées Monuments Historiques, puis restaurées. Elles se maintiennent en se spécialisant  dans certaines activités.
Mais leur charme reste fort, même si la vie a fui certaines d'entre elles. La mode en a passé. Reste le souvenir et l'esthétique.

 

Dix passages ou galeries sont présentés ci-dessous, dont cinq suite à une visite guidée (par Philippe Brinas-Caudie, photo ci-dessus)  représentaives des trois générations de construction.

Passage du Caire
passage du caire (1)Percé en 1798, il fait partie de la première génération des pasages et galeries. Il est situé dans le quartier du Sentier,  entre la place du Caire à l'ouest, la rue du Caire au sud, et la rue Saint-Denis à l'est. Ouvert pendant la campagne de Bonaparte en Egypte, l'engouement provoqué pour ce pays explique le nom et la décoration de l'entrée du passage. On voit sur l'immeuble de la place du Caire trois effigies de la déesse Hathor, reconnaissable à ses oreilles de vache.
Tois galeries constituent le passage, traditionnellement consacrées à des activités industrielles.
L'imprimerie et la lithographie ont été les activités du passage dans les années 1840, le faisant déserter par les flâneurs. La fabrication de mannequins pour vitrines lui succédera quelques décennies plus tard, avant que les activités de grossistes en prêt-à-porter le monopolisent. Très fréquenté il y a encore quelques années par les professionnels qui se bousculaient pour y faire leurs achats, il est aujourd'hui déserté par des acheteurs qui préférent recourir à Internet. Le passage, qui a depuis longtemps perdu tout cachet, est aujourd'hui en voie de délabrement. Il reste le plus long de Paris (370 mètres), mais aussi le plus étroit (2,70 mètres).

 

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Passage Panoramas.
passage-des-panoramas--2-.jpgConstruit en 1799, quelques années après la galerie du Palais Royal, elle est un exemple de la première génération de galeries. Elle rejoint la rue St Marc au boulevard Montmatre. C'est aujourd'hui une galerie très animée, remplie de commerces divers, restaurants notamment. On peut y voir le magasin de l'imprimeur Stern, qui s'est installé dans la galerie en 1837 jusqu'à il y a deux ans. Stern était un des graveurs célèbres de Paris, le roi de la carte de visite. Il n'y a plus guère de marché aujourd'hui. La boutique, restée dans son jus, est admirable.
Dans une branche du passage, il y a l'entrée des artistes du théâtre des Variétés. C'était l'entrée principale du théâtre avant que le baron Haussmann crée le boulevard Montmartre que l'on connaît aujourd'hui, avec trottoirs et revêtement de route.Ce théâtre a vu notamment cinq succès d'Offenbach, et de sa diva,  Hortense Schneider, qui a créé ses plus grands rôles.

 

 

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Galerie Véro-Dodat
galerie-vero-dodat--3-.jpgDans le 1er arrdt, elle va de la rue JJ Rousseau à la rue Croix des Petits-Champs. Construite en 1826 à l'initiative de deux charcutiers enrichis, Véro et Dodat, elle fait partie de la deuxième génération de galeries. Si elle est couverte, comme le sont aussi les passages, elle bénéficie d'un décor plus riche : mosaïque au sol, colonnes, dorures et sculptures aux murs, peintures aux plafonds. 60 boutiques la composent, spécialisées plutôt dans l'art et la culture. Sur le plan esthétique, c'est sans doute une des plus belles, peu animées par contre en raison de son emplacement dans une partie du 1er qui n'est pas la plus fréquentée. Des appartements surplombent la galerie. L'actrice   Rachel  y a vécu de 1838 à 1842.
J'ai pour ma part connu cette galerie dans les années 92 à l'occasion d'une affectation dans ce quartier magique de Paris. La galerie était en déshérence, des boutiques étaient désaffectées, celles qui restaient étaient peu fréquentées. J'ai découvert vingt ans après une galerie superbement restaurée. Mais la vie ne semble pas y être revenue.

 

 

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Galerie Vivienne

galerie-vivienne.jpgCette galerie qui va de la rue Vivienne à la rue des Petits-Champs (1er arrdt) a été construite en 1826 par un notaire, Marchoux, par ailleurs président de la Chambre des notaires. Elle sera ouverte sous le nom de son promoteur, et sera rebaptisée sous celui de Vivienne assez rapidement. Comme la galerie Véro-Dodat, elle fait partie de la deuxième génération de galeries. Elle connut un succès très important, avec des commerces de restauration, mode, mercerie, confiserie, estampes, et la célèbre librairie Jusseaume, où l'on pouvait acheter le journal à la feuille.
La galerie donne accès aux immeubles d'habitation qu'elle traverse. On peut ainsi y voir l'escalier monumental de l'immeuble où habitait Vidocq avant d'être Préfet.
galerie-vivienne--2-.jpgComme toutes les galeries, son déclin commença à la fin du second empire, concurrencée par les grands magasins et les rues désormais accueillantes au passant. Elle a repris vie depuis la fin des années 80, à l'initiative notamment du couturier Jean-Paul Gaultier, qui y a une boutique. La galerie comprend aujourd'hui des boutiques de prêt-à-porter et d'objets décoratifs.
Elle est remarquable par sa conception, faite d'espaces successifs, évitant l'uniformité d'un long couloir, et de son décor de style pompéien. Au sol, des mosaïques du céramiste italien Facchina.

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Galerie Colbert
galerie-colbert--19-.jpgElle a été créée en 1826 comme sa voisine Vivienne, par des financiers qui ont voulu reproduire le succès commercial de la galerie Vivienne. Son nom rappelle celui de l'Hôtel Colbert, sur l'emplacement duquel a été bâti la galerie. Pour concurrencer la galerie Vivienne, des prouesses architecturales seront faites, et le décor particulièrement soigné. Elle aura la réputation d'être la plus belle des galeries "réalisées récemment". Ce sera pourtant un échec commercial, le quartier du Palais-Royal étant de plus en plus quitté par le "beau monde". En 1859, la galerie sera cédée à l'Institut de France, et laissée quasiment à l'abandon.
Sa restauration date des années 80 après son rachat par la Bibliothèque Nationale. Les puristes regretteront une restauration pas toujours fidèle. Des matériaux modernes ont remplacé les matériaux traditionnels, et la Rotonde n'a pas été restaurée à l'identique.
Cette galerie publique ne contient pas de boutiques, mais des salles de réunion ou de congrès, pour le Ministère de la Culture ou autres entités oeuvrant dans le domaine culturel. D'où sa beauté un peu froide.

La statue qui trône au milieu de la Rotonde est due à Nanteuil, et représente Eurydice piquée par un serpent.

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Passage Choiseul
passage-choiseul--4-.jpgLe passage de Choiseul est  situé dans le 2ème arrondissement, entre la rue des Petits-Champs et la rue St Augustin. Il a été construit entre 1825 et 1827 à l'emplacement de quatre hôtels qui furent démollis. Seuls furent conservés quelques éléments de l'Hôtel de Gesvres, dont le porche, qui constitue l'entrée nord du passage.
Il a subi le déclin qu'ont connu tous les passages, et a connu un sursaut à partir de 1970 avec l'arrivée de Kenzo. Avec le départ du couturier place des Victoires, la fréquentation a reculé, et s'est désormais stabilisée.
Le théâtre des Bouffes Parisiens, ouvert en 1857, y a une sortie secondaire, et contribue à animer le passage. Avec 190 mètres de longueur, il est l'un des plus longs de Paris.

 

 

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Passage du Bourg l'Abbé
passage bourg l abbé (1)Situé dans le 2ème arrondissement, il rejoint la rue St Denis à l'ouest à la rue Palestro, à l'est. Sa longueur est de 47 mètres. Autrefois très animé, il est aujourd'hui l'ombre de lui-même, en attendant sa restauration prochaine. Bien que très altéré par un incendie, il conserve tout son cachet. 
Il a été édifié en 1828 par l'architecte Auguste Lusson, entre le passage du Grand-Cerf  (voir ci-dessous) et le passage de l'Ancre (non couvert). 
L'entrée est du passage est l’œuvre d'Henri Blondel, également architecte de la Bourse de Commerce. Les deux cariatides qui encadrent l’entrée, sculptées par Aimé Millet, sont des allégories du commerce et de l'industrie.

 

 

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Passage du Grand-Cerf
passage-du-grand-cerf--1-.jpgIl est situé dans le 2ème arrondissement, dans le prolongement du passage du Bourg-L'Abbé (décrit ci-dessus). Ouvert en 1825, son architecture actuelle date plutôt des années 1845. Il a été construit sur l'emplacement de l'hôtel du Grand-Cerf. Isidore Monier, son propriétaire d'origine, le vendit en 1862 à l'Assistance Publique. Celle-ci le mettra en location, mais les divers locataires qui se succèderont ne sauront éviter l'inexorable baisse des revenus et la dégradation de la galerie, à l'entretien laissé au quasi abandon.
Ce n'est qu'en 1985 que l'Assistance publique réussit à trouver le repreneur qu'elle s'était décidé à chercher. La restauration put être engagée en 1988 dans le respect de la décoration originale, et la galerie, aujourd'hui superbement restaurée, abrite 33 boutiques très tendances, de mode, d'artisan, décoration, design et communication.Longue de 120 mètres et large de 4 mètres, la galerie s'élève sur trois étages à 11m80 de hauteur. C'est la plus haute verrière des galeries parisiennes. 

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Passage Jouffroy
passage-jouffroy--1-.jpgConstruit en 1845, il part du boulevard Montmartre, dans le prolongement du passage Panoramas, pour rejoindre la rue Grange-Batelière (9ème arrondissement). Il a été créé à l'initiative d'une compagnie privée, présidée par le comte Jouffroy-Gonsans (1791-1863) qui lui donna son nom.
Toujours très fréquenté, le passage doit son animation à la proximité des grands boulevards et du passage Panoramas (voir ci-dessus) qu'il prolonge. Mais il la doit aussi au Musée Grévin, dont la sortie est située dans le passage.  C'est en 1882 que le musée fut inauguré, fruit de l'association entre le caricaturiste Alfred Grévin (1827-1892) et le fondateur du Journal "Le Gaulois", Arthur Méyer. Le musée Grévin est le deuxième musée de France par la fréquentation, après le Louvre.
Réalisé tout en verre et acier, le passage innove technologiquement par rapport à ses prédécesseurs. Le bois ne sert qu'aux éléments décoratifs. Il a été entiérement restauré en 1987, retrouvant son dallage d'origine.

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Passage des Princes
passage-des-princes--2-.jpgConstruit en 1860 par un homme d'affaires, Mirès,dont il portera le nom quelque temps, il appartient à la troisième génération des passages et galeries. Il relie la rue Richelieu au boulevard des Italiens, assurant une communication agréable entre le quartier des affaires et celui de la promenade et des plaisirs.
Dès 1866, il devient la propriété d'une Compagnie d'Assurance, qui deviendra les AGF. Le passage est démoli en 1985 pour une opération immobilière, et reconstruit à l'identique. On peut y voir une belle verrière et une coupole des années 30 en verre coloré décoré de roses. L'enseigne  Joué club est omniprésente dans la galerie, lui préservant une activité commerciale dont le jouet est le thème principal.

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 le diaporama musical  (6')

Village de Montmartre

Jolie visite guidée par Robert, américain vivant en France depuis 30 ans, proposé par le site montmartre-site.com.

Départ du métro Pigalle par la rue Houdon vers la place des Abbesses, pour le square Rictus et les 311 'je t'aime' et l'église St Jean. On voit ensuite le bateau-lavoir, la maison de Dalida et le retaurant le Moulin de la Galette où elle avait sa table, le square Marcel Aymé et la sculpture de Jean Marais en hommage au Passe-Muraille, le Lapin agile, la vigne de Montmartre, la Maison rose, la place du Tertre, l'église St Pierre et la basilique du Sacré-Coeur.

le film (8')
 

Rue Montorgueil

Claude monetthe rue montorgueil in paris celebration ofLa rue Montorgueil est une des rues les plus typiques de Paris, située dans ce qui était le quartier des Halles. Aujourd'hui réservée aux piétons, elle reste très animée, riche de commerces de bouche et de restaurants. 
A cheval sur le 1er et le 2ème arrondissement, elle est orientée nord-sud, et commence ses 360 mètres à la belle église Saint Eustache. On y chemine en légère pente, d'où son nom, puisque qu'elle menait au sommet - petit - du Mont orgueilleux, où elle croise la rue Beauregard.

Claude Monnet a peint un tableau intitulé rue Montorgueil (ci-contre).

le diaporama

 

 
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