Le chanteur n'a pas raison, Capri*** ce n'est pas fini, il y a même beaucoup de belles villas, de magasins ultra-ultra-ultra chics, des taxis rallongés, aux intérieurs en cuirs de toutes les couleurs, beaucoup de touristes aussi, je n'ose imaginer les ruelles des deux villes de l'île en juillet et en août.
Au programme du matin, débarquement à Marina Grande, bus, puis montée au mont Solaro. Oh! ce point culminant de l'île n'est pas très haut, 589m, et nous partons de 100m. Seulement il n'y a pas beaucoup de kilomètres, et la pente est raide. Plus que raide. 20%,30%, au moins au départ? Thérèse avait bien sûr opté pour le funiculaire, le reste du groupe a préféré les gambettes. Et on est monté, pour arriver au sommet où nous avons pique-niqué dans le brouillard et le froid! Autant dire que la vue, macache, à peine voyait-on nos pieds!
Après la descente, nous arrivons dans la cité de Capri en même temps que la pluie. Cela aura accéléré la visite, pas passionnante du reste en raison du caractère totalement artificiel de la ville. Un pot sur une terrasse près du port où Michèle aura alterné les quatre chaises de la table pour tenter de concilier absence de pluie et vue, et retour à Naples par bateau vers notre hôtel des deux premiers jours.